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Artisanat

Soierie


 Selon l’histoire au début du millénaire après J. C. les gens de la vallée de Ferghana savaient travailler sur la soie grège importée de Chine. Au 7 ème et 8ème  siècles, à Fergana on a commencé à élever des vers  à soie. Pendant de nombreux siècles, avec d'autres marchandises sur  la Route de la Soie les commerçants emportaient  la soie de la vallée de Fergana à Bagdad, à Kashgar, au Khourassan, en Egypte et en Grèce, en Byzance et en Russie.

Marghilan ville de la vallée de Fergana est la «capitale de la soie" depuis longtemps. 

Au début le tissage de la soie naturelle était le métier d'homme. Les tissus présentés "khan-atlas" - la soie et la soie royale "shoyi" sont ornés avec des dessins « abres ».

Les historiens pensent que le motif "abre", qui signifie «nuage», et l'un des plus anciens de l'Ouzbékistan. Fils de soie pour l'abre tissu de base enroulée en bobines de grande taille, et le maître fait le motif avec des points et  des tirets. Des lieux qui ne peuvent pas être colorier, très dense et bien emballé avec un fil épais et une base entièrement immergé dans la solution de colorant qui colore les espaces ouverts aux extrémités et se jette dans les pansements, et cela donne le modèle de l'imprécision. Figure fusion des tissus abre, contours flous est un arc en ciel arc diverces variété de compositions. Magnifiques tissus en  soie Khan-atlas et adras créées au milieu du siècle XX par des maîtres qui montrent la splendeur royale de combinaisons de couleurs.

En Ouzbékistan, le tissu rayé  demi soie  "bekasam" est très populaire. Son  schéma de couleur froide basée sur une combinaison de blanc, bleu, vert, rayures jaunes et violettes.

Broderie

Dès l’enfance la broderie fait partie de la vie des ouzbeks. Elle crée des saveurs, donne un sens de la beauté et de l'harmonie. En règle générale, le grand « suzani » décoratif est fait pour les évènements les plus solennels de la famille. Beaucoup de broderies différentes sont préparées surtout lors des mariages, pour la famille de la mariée. Dans les familles ouzbèques, ce sont les femmes qui s’occupent de l’art de la broderie. Pour les mariages la famille de la mariée préparait  différentes sortes de broderies qui composaient une partie importante de la dot de la mariée. Selon l’ornement du suzani, on peut savoir d’où est la mariée : de Tachkent, de Jizzakh, de Samarcande, de Surkhandarya, de Kashkadarya, de Boukhara et de  Nourata. Ainsi, le drap de mariage « ruidjo », calqué sur trois côtés, était étendu sur le lit des jeunes mariés, « le bolishpuch » était mis sur l'oreiller et le suzani couvert le lit. Dans les cérémonies de mariage, l’ornement de broderie, avait un pouvoir magique : celui de protéger les jeunes mariés de toutes sortes de forces maléfiques. Selon une ancienne tradition, les brodeuses laissaient toujours une petite partie de la pièce inachevée, afin «que les beaux traveaux ne se terminent pas, que la joie de la maison ne soit pas interrompue ». Les femmes filaient la soie pour avoir les fils de broderie et les teignaient en rouge, en violet, en vert, en jaune… . Pour la coloration, des teintures végétales comme  la garance, le safran, le coquille de noix, les écorces de grenade sont utilisées.

Céramique.

L'art de poterie est l’un des plus anciens métiers, que possède le peuple ouzbek. Née à l'aube de la civilisation humaine, en premier lieu pour réprendre au besoin d'ustensiles, la céramique d'Ouzbékistan est devenue la partie la plus importante du patrimoine culturel universel. Les formes principales et les types de la présentation des produits d'argile sont apparues à l'âge du bronze. À cette époque là, les artisans ont commencé à orner les produits d’entailles en forme de méandres et des lignes brisées ou de peinture représentant des animaux et des plantes, dans des figures géométriques rappelant le soleil, les étoiles et les ondes. Ces ornements avaient autrefois une signification magique, ils sont jusqu’à présent dans les décors des céramiques ouzbèque.

En Ouzbékistan il existe plusieurs centres principaux de la céramique. Un des plus anciens est Tachkent, un des centres les plus connus de la production de la céramique en Ouzbékistan est la ville de Gijdouvan qui se trouve à quarante kilomètres de Boukhara.

Dans plusieurs régions la peinture sur les céramiques se fait par les glaçures de plomb, mais la plus ancienne et précieuse la peinture bleu clair «ichkor». Le centre le plus ancien de la céramique traditionnelle bleue claire se trouve dans la vallée de Fergana, dans le village de Richtan. Il est apparu à la fin de XIV siècle au gré de Tamerlan avec l'indication de garder le secret de la peinture au cobalt sur la porcelaine. Le bleu outre-mer doit son originalité à la terre utilisée, la terre ouzbèque. Des argiles locales ont permis de produire la semi-faïence couverte de glacis blanche avec de la peinture bleue et bleu clair : la céramique "Tchin", c'est-à-dire chinoise. Les céramiques de Richtan, couvertes de glacis bleu clair «ichkor» d’origine végétale, répondaient à une demande extraordinaire de toute l'étendue de la Grande Route de la soie, de la Chine à la péninsule Arabique. En effet, selon d'anciennes croyances, la couleur bleu clair de l'eau et du ciel symbolise le bonheur. Vers le milieu du XX siècle les secrets de fabrication de la céramique bleu clair étaient perdus. Mais les maîtres de Richtan ont ramené à la vie non seulement la technologie ancienne « ichkor », mais aussi ont rendu  la vie aux anciennes formes et aux ornements de la peinture sur céramique.

À Khoresm on dispose encore d’un ancien centre de céramique bleu clair. L'histoire de son apparition prend source au XVIII siècle, quand à Khiva a commencé la construction orageuse des palais de khan et les mosquées revêtues de mosaïques aux dessins bleu-turquoise.

Le foyer le plus ancien de l'art de la poterie était formé dans la région de Samarcande il y a quelques mille ans. Jusqu'à aujourd’hui, sur les ruines d'Afrasiab se sont consernées des coupes de céramique recouvertes de glacis et de nombreuses figurines d'argile de divinités locales et d’animaux fantastiques créés par les mains des maîtres légendaires de Sogdian. Dans les produits de la terre cuite et le glacis brun, jaune et vert des céramistes  de Samarcande du XX siècle, nous apprenons d'anciens symboles de la terre, de l'eau, du ciel, du soleil, des étoiles.

 

 

                                  L’école de miniature et la fabrique du papier de soie de Boukhara

      La miniature est un art classique de l’Orient pratiqué depuis plus de mille ans.  C’était l’art de décorer des livres devenu un art à part. Les artistes ont développé cet art et ont commencé à présenter les paysages et les personnage malgré qu' à l'islam il est interdit de présenté des êtres vivants. Les spécifités de ces peintures elles sont à peinture à l'eau avec des colorants naturels. Il y manque la perspective  Un célébre miniaturiste de Boukhara Davron Toshev a récemment créé son école où il fabrique son papier de soie et apprend ses apprentis à dessiner.

 

                               La fabrique des des tapis en soie « Khoudjoum » de Samarcande

  Les tapis de l’Asie Centrale sont très réputé dans le monde sur le nom de « Tapis de Boukara »  A l’époque les marchands venaient de loin pour chercher ces tapis.

  Fondée en 1992 la fabrique des tapis en soie « Khoudjoum » utilise les anciennes métodes de fabriquer les tapis de soie. Tout les étapes de fabrication sont manuels et demande beaucoup de travail. Il y a beaucoup de femmes y travaillent parce que ce travail demande beaucoup de patience.

 

 

 

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